L'ENTRETIEN ET LA GESTION DU PATRIMOINE NATUREL
DE L’ESPACE RURAL ET DES PAYSAGES
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Institut Européen d'Agroécologie Appliquée

Association loi 1901, a but non lucratif, déclarée le 28 avril 2005

L'association Institut Européen d'Agroécologie Appliquée (I.E.A.A.) a pour objet: « Au service de l'économie rurale et agricole, selon le principe de subsidiarité(1), de réunir les moyens pouvant apporter les soutiens nécessaires aux personnes morales ou physiques travaillant à l'étude, la réalisation, la promotion d'actes de gestion des espaces naturels, de l'environnement rural et des paysages en faveur d'un développement(2) écologique(3) équitable(4). »

Construire une société juste et bonne

1 - Principe de subsidiarité :
A) Le principe de subsidiarité est un des principes de base adopté par l'Union Européenne. Ce principe est : «  de reconnaître aux acteurs locaux leur aptitude à proposer et à mener à bien des projets et des programmes de développement qu'ils auront eux-mêmes définis. »
En France l'État se dégageant de plus en plus au profit des acteurs locaux, ceux-ci se doivent de créer leurs propres outils permettant l'application de leur politique. Les outils proposés par le Programme ETER.ENVIRONNEMENT permettent de démontrer une réelle capacité des gens de terrain aux partenaires institutionnels et financiers dans la volonté de réalisation.

B) Au niveau mondial les mentions que fait l'Église catholique du bien commun se réfèrent souvent spécifiquement à l'accomplissement des familles et d'autres associations, aussi bien qu'à l'auto accomplissement des individus. Ces groupes aident l'individu à poursuivre ses buts ; plus encore, eux-mêmes peuvent faire partie du bien-être d'une créature née pour l'amitié.
Le principe que Pie XI, Jean XXIII et le Deuxième Concile du Vatican appellent le principe de subsidiarité est implicite lorsque l'Église parle de bien commun. Ce principe s'exprime comme suit :
« De même qu'on ne peut enlever aux particuliers, pour les transférer à la communauté, les attributions dont ils sont capables de s'acquitter de leur seule initiative et par leurs propres moyens, ainsi ce serait commettre une injustice, en même temps que de troubler d'une manière très dommageable l'ordre social, que de retirer aux groupements d'ordre inférieur, pour les confier à une collectivité plus vaste et d'un rang plus élevé, les fonctions qu'ils sont en mesure de remplir eux-mêmes. L'objet naturel de toute intervention en matière sociale est d'aider les membres du corps social, et non pas de les détruire ni de les absorber »
Subsidiarité et participation :
« L'activité et la production économique, comme la propriété privée, doivent servir le bien commun. Leur but commun est le service de tout homme dans son entier selon la hiérarchie de ses besoins matériels comme des exigences de sa vie intellectuelle, morale, spirituelle et religieuse...
La croissance économique ne peut être laissée au seul jeu quasi-automatique des individus...
Pour la poursuite du bien commun, les initiatives spontanées des individus et de leurs libres associations doivent pouvoir être coordonnées avec l'action des pouvoirs publics...
L'activité économique ne doit pas être abandonnée à la discrétion de la communauté politique; le rôle propre de l'autorité publique est celui d'auxiliaire »

2 - Environnement et développement :
Pour Jean-Marie BLIN, Vice-président de la FEMTAA, Président de la CFTC-FSCOPA « il n'est pas concevable, de parler politique de développement durable mondial sans intégrer le respect et le bien être des travailleurs. » ... « Comme nous pouvons le constater, la réalité économique agricole est loin de garantir le développement durable de nos pays. Il est urgent en tant qu'acteurs de la société civile et syndicats représentants le monde agricole de nous poser la question de notre implication dans des réflexions et des négociations sur le développement durable en agriculture. Pour y réussir, nous devons envisager de nous allier à des groupes qui savent se faire entendre mieux que nous. Pour l'avenir de l'agriculture et des salariés qui la font, un rapprochement avec certaines associations de défense de l'environnement sera peut-être une solution. »

3 - Agroécologie :
Le paysage rural étant dans un espace naturel habité un réseau d'éléments complémentaires construits pour sa fécondité la gestion de la nature passe par une mise en oeuvre agronomique et écologique simultanée.
- Écologie, du grec oïkos = maison, et logos = discours, étude (1867 Haeckel) est une discipline scientifique ayant pour sujet l'étude des relations entre un être vivant (plante ou animal) ou une population et son environnement.
- L'écologisme, qui caractérise une écologie militante, est vécu au quotidien ou dans des mouvements associatifs et revêt généralement une dimension politique, au point de constituer un contre-pouvoir justifié et justifiable.
- L'écologie de la création par un développement équitable, ne comporte pas de militantisme contestataire, mais cherche à intégrer l'homme dans la création.

4 - Équité :
- Notion de la justice naturelle dans l'appréciation de ce qui est dû à chacun ; vertu qui consiste à régler sa conduite sur le sentiment naturel du juste et de l'injuste.
- Conception d'une justice impartiale et intègre qui n'est pas inspirée par les règles du droit en vigueur.

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